Chers Cogito lecteurs,
Bienvenue dans cette nouvelle édition Cogito News !
Lundi dernier, un bébé a été retrouvé mort à l’arrière d’une voiture à Saint Nazaire. Âgé d’un an, le petit garçon a succombé à un arrêt cardio-respiratoire.
Prenant connaissance de cette nouvelle, j’ai immédiatement pensé “c’est impossible”.
J’ai alors cherché à clarifier ce que signifiait cette idée d’impossibilité.
S’il s'était agi de la perte d’un être cher, l’impossibilité que j’énonçais aurait pu être l’expression de mon refus d’admettre l’insupportable, le signe d’un effondrement émotionnel.
Or, il n’était pas question ici d’un rapport affectif au sens fort.
Certes, la survenue de la mort se présente toujours sous la forme d’un choc, d’un bouleversement qui nous place dans une sorte de sidération, et cependant nous sommes tragiquement accoutumés à la mort que nous rencontrons quotidiennement dans les colonnes de l’actualité.
La mort et cette notion d’impossibilité m’apparaissaient comme étant étroitemen…